Malgré un programme fort alléchant : deux boucles de deux A/R le long du côté ouest de la frontière fluviale franco-niçoise, sans grandes difficultés sur le papier, la médiocrité relative des chronos à l’arrivée – mis à part pour les filles, dont les trois premières se placent à l’intérieur des 40’ – démontre que ce n’était finalement pas aussi roulant que cela pouvait en avoir l'air : une forte brise faciale sur les parcours aller et degun à qui sucer la roue, même pour un petit gabarit comme le mien, une chaleur et un soleil estival auxquels les organismes n’étaient plus habitués depuis… – heureusement, aujourd’hui, tout est rentré dans l’ordre -, et sans doute quelques hectomètres en plus, et donc en trop ; mais ne doit donc certainement pas nous décourager sur la marge de progression pour les épreuves à venir. Cantaron, nous voilà !